Ce projet a pour ambition d’étudier le potentiel initiateur d’incidents, des défauts de fourniture électrique et la vulnérabilité des industries de nouvelle génération du type bio-raffinerie et valorisation de la biomasse. La sécurité des procédés de valorisation de la biomasse de deuxième génération est un sujet très peu étudié et très peu documenté à l’heure…
Ce projet a pour ambition d’étudier le potentiel initiateur d’incidents, des défauts de fourniture électrique et la vulnérabilité des industries de nouvelle génération du type bio-raffinerie et valorisation de la biomasse. La sécurité des procédés de valorisation de la biomasse de deuxième génération est un sujet très peu étudié et très peu documenté à l’heure actuelle. Les analyses détaillées des risques internes liés à ces procédés sont rares. De nombreuses questions restent en suspens : quel est le risque en cas de panne du circuit de refroidissement, le risque lié au stockage, le risque lié à la fatigue des matériaux utilisés, quels sont les dangers de ces procédés et quels sont les risques associés…
Le projet AMED est constitué d’un ensemble de modules qui abordent de façon collaborative et pluridisciplinaire différents aspects de ces questions complexes, en s’intéressant au développement de procédés ou d’activités dans le contexte du mix-énergétique. De nouveaux potentiels de danger et de nouveaux risques sont à identifier, la vulnérabilité des systèmes doit être analysée, l’étude de scénario et la définition des probabilités associées pourra déboucher sur des recommandations et la définition de bonnes pratiques pour la conception de nouveaux procédés.
Le projet AMED a la volonté d’être au service de la société civile et des industriels. Il apportera des contributions dans le cadre de la recherche pour le progrès des connaissances. Il doit permettre des avancées sur les points de blocage scientifiques et techniques précédemment identifiés.
Le projet AMED est cofinancé par l’Union Européenne à travers le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) et par la Région Normandie. L’opération qui a commencé le 1er Septembre 2016 sera menée jusqu’au 31 Mars 2020.
