Auréline LALOUETTE, étudiante en master Gestion de l’environnement
Mis à jour le : 05/12/2023
Auréline est étudiante en master Gestion de l’Environnement – Risques et Environnement. Cette dernière nous présente sa formation : un master qui accueille des étudiant.e.s venu.e.s de toute la France qui souhaitent se spécialiser dans l’éco-toxicologie et la prévention des environnements.
Bonjour Auréline, peux-tu te présenter ?
Je m’appelle Auréline, j’ai 22 ans, je suis havraise d’origine et je suis passionnée de sports de glisse ; en snowboard l’hiver et sur la mer l’été, plutôt sur l’Atlantique. Ce n’est pas simple de dire qui on est en quelques mots ; mais effectivement, le goût pour le sport, les liens avec ma famille et mes amis sont des choses importantes pour moi. Je m’intéresse également aux questions liées à la préservation de l’environnement, notamment en milieu marin. Je me suis pour cela, assez vite tournée vers des études de biologie, en débutant mon parcours par une licence, puis en intégrant ce Master 1 Gestion de l’Environnement – Risques & Environnement à l’université Le Havre Normandie.
Que peux-tu nous dire de ton parcours ?
Au départ, je voulais me tourner vers le milieu médical et envisageais une PACES. En regardant de plus près le programme, je me suis aperçue que ce qui m’intéressait le plus étaient uniquement les matières liées à la biologie. J’ai donc choisi une licence en Sciences de la Vie, avec une spécialisation en L2 sur l’environnement. L’autre option étant plus vouée à la Biologie moléculaire et cellulaire.
J’ai ensuite souhaité me spécialiser avec un master proposé ici au Havre, et me tourner vers la toxicologie de l’environnement. Un choix qui me permettait de rester dans la région, ce qui est pour moi très appréciable.
Que peux-tu nous dire de ta formation ?
Notre master nous ouvre deux voies possibles pour la suite de notre cursus. Une plus réglementaire, « HSE » (Hygiène, Sécurité, Environnement) pour ensuite travailler sur ces questions dans les grandes entreprises industrielles comme Total, Exon, Chevron… Ou une seconde voie plus orientée vers la recherche pour contribuer à l’amélioration des conditions environnementales.
Pour ma part, j’envisage plutôt la recherche, et j’ai demandé un stage de fin de master 1 dans un institut de recherche : l’IFREMER, spécialisé dans la pérennisation des ressources des mers et des océans.
Ce stage me permettra, je pense, de consolider mon projet professionnel. Ce qui m’intéresse, est effectivement la dépollution des milieux marins. A cause de la surpêche, beaucoup d’habitats et d’organismes sous-marins sont détruits. Nous savons aujourd’hui que l’impact sur le plancton a des répercussions sur les organismes « supérieurs » et en ce sens il y a des solutions à trouver. Je veux pouvoir y contribuer à mon échelle. Ce stage que l’on appelle à juste titre « de découverte », me permettra de mieux me projeter pour la suite en master 2.
Pour finir, j’ai envie de dire que j’aime beaucoup ma formation. Nous sommes un petit groupe d’étudiant.e.s dont environ un tiers ont suivi leur licence au Havre. Les autres viennent d’un arc géographique très large qui va de Lille à Toulouse. Nos enseignant.e.s sont formidables, très pédagogues et ouvert.e.s. Ils nous accompagnent avec beaucoup d’intérêt, d’écoute, d’expertise et nous conseillent pour notre projet. Ils nous aident à nous confronter à nos choix professionnels avec des visites d’entreprises par exemple.
Que peux-tu nous dire du campus ?
Mes collègues de promotion disent souvent qu’à Paris, il faut presque prendre un vélo pour aller d’un bâtiment à un autre. Ici, une trottinette… ou en tout cas quelques pas suffisent. Notre campus est effectivement très agréable à vivre. Les aménagements de la Faculté des Affaires Internationales, les bassins, les espaces paysagers entretenus, très « green friendly », montrent la volonté d’offrir un cadre agréable pour bien embrasser nos années universitaires.
Que peux-tu nous dire du Havre ?
Le Havre a beaucoup évolué depuis 5, 6 ans. L’installation du Tram, le réaménagement des grands axes et du quartier ancien y ont beaucoup contribués. Les événements autour des 500 ans dynamisent l’ensemble de la ville et ont fait en sorte que les havrais sortent de chez eux. Tou..e.s les étudiant.e.s venant de l’extérieur le disent aussi, ce n’est pas uniquement le point de vue d’une « amoureuse de sa ville » qui parle.
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Pour vous aider à construire votre projet, vous pouvez vous appuyer sur les équipes enseignantes qui pourront vous apporter écoute et conseils, ainsi que l’équipe du SUIO qui peut vous accompagner pour construire votre projet suio@univ-lehavre.fr / 02 32 74 42 29.