Claire, un DUT information-communication en poche… et après ?

Stagiaire solaire au Pôle communication de la DIRAC, et ne voulant pas être fidèle à l’adage : « Les cordonniers… », nous avons souhaité recueillir le témoignage de Claire sur son parcours, son expérience « intra muros » de l’université en tant qu’ancienne étudiante, puis stagiaire et pour connaître son devenir.

Que peux-tu nous dire de toi ?
Je suis actuellement étudiante en L3 Marketing communication culture à l’IAE de Lille mais très attachée à ma ville, Le Havre, et à mon ancienne université dans laquelle j’ai été étudiante en DUT information-communication. J’ai été en quelque sorte « happée » par la communication après la bac et au-delà d’un projet professionnel pour moi, il s’agit d’une réelle passion. Je suis très curieuse de toutes les nouveautés et de toutes les tendances sur ce secteur. J’ouvre grand les yeux sur tout ce que je peux en apprendre. Et j’apprécie avant tout la diversité et la polyvalence implicite à ce métier et surtout de devoir ne jamais faire la même chose.

Que peux-tu nous dire de ton parcours ?
Sur mon parcours d’étudiante, le mot qui synthétise mon expérience ici est : merci ! Le DUT information et communication (de l’université Le Havre Normandie) a répondu à mes attentes et bien au-delà. Pour la qualité des cours et de l’équipe pédagogique, l’ensemble des aspects de la communication et la diversité des sujets abordés. Le DUT permet d’aborder toutes les missions d’un chargé de communication, et elles sont nombreuses, tant sur un aspect pragmatique, technique que stratégique. Les cas pratiques, l’expérience du Newzin’ auquel j’ai activement participé ont concrétisé sur le terrain toutes les notions abordées en théorie. Je sais que l’IUT du Havre apporte beaucoup de ce point de vue.

Que peux-tu nous dire de ton projet ?
Après l’obtention de mon DUT et cette année d’étude à Lille, j’avais à cœur de revenir au Havre pour y faire mon stage de fin d’année et j’ai eu l’opportunité de pouvoir intégrer le Pôle communication de la DIRAC de l’université. Mon objectif dans ma démarche professionnelle est de pouvoir découvrir un maximum de domaines pour affiner ma perception de la profession et ainsi avoir un regard le plus objectif et le plus concret possible. J’ai expérimenté auparavant le secteur des agences de communication et le secteur associatif. Et après ces quelques mois dans cette institution qu’est l’université, je dois avouer que l’univers public m’attire beaucoup.

Mes ambitions pour la suite sont d’aller le plus loin possible, couvrir une mission à 360° et appréhender à la fois les aspects les plus pragmatiques du métier jusqu’au montage d’une stratégie de communication complète. Ce qui m’intéresse, et je construis les choses pour pouvoir embrasser toutes ces missions, c’est la responsabilité que cela engage, la polyvalence que cela demande et la maîtrise de ce que le métier implique. L’intérêt étant toujours pour moi de faire émerger une idée et de la concrétiser jusqu’au bout.

Que peux-tu nous dire du campus ?
L’université Le Havre Normandie est une petite (dans le bon sens du terme) université, à taille humaine, accueillante et bienveillante. Les enseignant.e.s ont à cœur de mettre en place une vraie proximité relationnelle et pédagogique. J’ai le sentiment que cette question est en développement constant et au cœur du dispositif proposé, car comme je le disais les équipes sont très à l’écoute. Pour avoir connu d’autres contextes plus anonymes, j’en apprécie d’autant plus la saveur. Beaucoup de moyens sont à notre disposition pour vivre nos études dans les meilleures conditions. L’offre culturelle est très ouverte, les lieux de vie sont agréables comme la « cafet’ » ou la Maison de l’Etudiant, ou encore les espaces verts de circulations très aérés.

Que peux-tu nous dire du Havre ?
C’est ma ville, et je l’aime. Ça n’a pas toujours été le cas, mais les choses ont beaucoup évolué depuis quelques années. Etant partie ailleurs, en revenant, j’ai pu me rendre compte de tous ces attraits et tout ce qui est fait pour la développer. L’offre culturelle est importante pour l’échelle de la ville. Ce potentiel est très bien exploité et pourrait l’être plus encore pour être facteur d’attractivité pour les jeunes notamment, autour d’activités qui leur seraient directement dédiées et pas seulement l’été.