A l’invitation du service culturel de l’université Le Havre Normandie, trois artistes du collectif Les Amarts présentent une installation inédite dans la galerie d’exposition de la maison de l’étudiant.
DEVERNISSAGE MARDI 13 DECEMBRE A 18H
INTERSECTIONS est une proposition artistique in situ de Ségolène Bac, Julie Aubourg et Alexandre Le Bourgeois, tous les trois plasticiens et membres du collectif Les Amarts.
Cette exposition est un croisement de regards et de sensibilités sur les notions d’espace, de volume et de forme.
Tour à tour ciselée, reflétée, superposée ou occultée, la lumière est le dénominateur commun de leur réflexion, et l’enjeu principal de cette résidence à la maison de l’étudiant.
En résulte une œuvre hybride et singulière, en trois dimensions, qui plongera le visiteur dans l’univers des artistes.
Cette expérience visuelle et sensorielle sera visible du 15 novembre au 15 décembre à la Maison de l’étudiant du Havre.
Une installation évolutive et participative avec des workshops dirigés par les artistes durant le mois de l’exposition.
Julie Aubourg
Un objet, puis deux, puis trois, puis quatre, puis… Tout a commencé à s’accumuler pour devenir une véritable collection et même une collectionneuse, c’est ainsi que Julie Aubourg a tracé sa ligne de conduite. La répétition des objets ainsi que ses gestes constituent son procédé de création baigné dans l’atmosphère havraise et son architecture immanquable.
Ségolène Bac
Ni tout à fait artiste, ni tout à fait graphiste, Ségolène Bac traine encore sur les bancs de l’école (ESADHaR) à vivre de projets en projets. Faire un site, des carnets, de la projection, des volumes, du stop-motion, de la calligraphie… peu importe, le graphisme prend tellement de formes, ce qui la passionne c’est la création visuelle. Une célèbre phrase symbolise sa plus grande inspiration : “Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie”. (Confucius).
Alexandre Le Bourgeois
Etudiant à l’ESADHaR, Alexandre Le Bourgeois s’intéresse à l’abstraction, au motif, à la ligne, à la couleur et au signe dans l’environnement urbain. Partant d’une base picturale, il décline au maximum ce procédé pour qu’une composition ne s’arrête jamais, sur des surfaces planes ou en installations. Il établit des analogies entre peinture et lumière, projection de peinture et projection vidéo…
